Les médecines douces pour prendre soin de soi
De nombreux français ont régulièrement recours aux médecines douces. Ces pratiques médicales connaissent un franc succès portées par la vague des médecines dites alternatives qui se présentent en complément de la médecine traditionnelle.
Des pratiques différentes
Les pratiques de médecine douce sont très nombreuses : acupuncture, phytothérapie, homéopathie, ostéopathie, chiropraxie, hypnose, mésothérapie… Certaines sont connues depuis longtemps et couramment pratiquées dans certains pays. C’est par exemple le cas de l’acupuncture ou de la phytothérapie en Chine et au Japon.
Se soigner autrement pour prévenir les maladies
Le but de ces pratiques est essentiellement de prévenir les maladies et maintenir le corps en bonne santé. C’est aussi une façon de réduire la prise de médicaments et de prévenir d’éventuels effets secondaires indésirables.
Efficacité prouvée ou effet placebo ?
Chacun possède ses convictions, peu d’études scientifiques ont été menées avec des résultats exploitables. Certaines pratiques sont néanmoins reconnues par les professionnels, comme l’acupuncture ou l’hypnose, utilisées par certains hôpitaux pour traiter la douleur ou effectuer des opérations légères sans anesthésie « chimique ». L’hôpital de la Pitié-Salpêtrière possède même un Centre intégré de médecine chinoise en complément de la médecine plus conventionnelle.
Qui prend en charge ce coût ?
Ces actes ne sont généralement pas pris en charge par la Sécurité sociale et donc non remboursés par les complémentaires santé dans la plupart des cas.
Bénéficier de ces médecines a donc un coût, les séances d’ostéopathie par exemple, tournent en moyenne autour de 50 €, non prises en charge.
Pour accompagner l’essor de ces nouvelles façons de se soigner, certaines mutuelles prennent le relais.